Réunissons-nous !

Admin a écrit:DEUX-CENT inscrits sur ce forum...

Un chiffre qui ne veut rien dire si chacun se contente de cliquer dans son coin.
Je vous propose que nous passions à la vitesse supérieure maintenant.
Je vous invite à une première réunion, dans la région Pays de la Loire pour commencer. Il s'agit d'une simple proposition, et rien n'empêche de suggérer un lieu différent. Tout est possible, dès lors que nous faisons le nécessaire pour faire cesser cette injustice sur notre statut d'éternels intérimaires de l'Education nationale. Sortons de l'ombre ! Cessons de craindre les représailles, attitude qui permet au système de nous exploiter depuis... bien trop longtemps. 
Dans un premier temps, nous pourrions nous retrouver et nous concerter sur les grandes décisions à prendre, partant du principe que nous ne pouvons pas être toujours d'accord sur les moyens, les tenants et les aboutissants, mais le mot d'ordre serait : SE REUNIR pour se connaître ; FIXER NOS INTENTIONS, NOS OBJECTIFS ET ENVISAGER LES MOYENS D'Y PARVENIR.


Au nom de tous les non-titulaires qui s’apprêtent à passer une nouvelle fin d'année dans le doute et les difficultés propres à notre statut, je vous remercie de vous manifester, de faire passer le message aux non-titulaires, et d'y croire !


Bien respectueusement.


Votre collègue contractuelle.

La loi Sauvadet est destinée, prétendent-ils, à absorber la précarité sur 4 ans. Sauf à être complètement naïfs, comment imaginer que cela puisse être possible?

 

« Nous réunir qui est partant ? » a demandé hier Adm. Je commencerai par lui répondre ce que disent les Italiens : « Qui ne pisse pas en compagnie est un voleur ou un bandit » ! Alors mille fois oui réunissons6nous dans les Pays de Loire ou à Paris. Naturellement, etant en région parisienne je préférerai, mais si chacun commence à s’inquiéter du lieu qui lui convient, rien ne bougera… comme d’habitude. J’ai bien été à Lyon pour me faire humilier, alors les Pays de Loire… pour nous mobiliser me paraît une destination bien plus alléchante du coup ! Alors qu’est-ce qu’on attend ? Et pour ceux qui hésiteraient encore à faire le déplacement jusqu’aux Pays de Loire, je les invite à me lire dans ce bref rappel du sort indigne que nous subissons. Enfin, ayons à l’esprit, les uns et les autres que : « Plus nous sommes attaqués par le néant, plus la résistance doit être passionnée ». Holderlin.

 

Examen professionnalisé, un ovni à broyer du précaire 

 

 Autre anomalie, déguiser en examen professionnalisé, toute la nuance sémantique en même temps que le piège étant contenu dans ce délicieux fourre-tout et cet enfumage caractérisé, ce qui n'est ni plus ni moins qu'un concours dont le faux nez est destiné à faire tomber le plus grand nombre dans ce faux grossier. Beaucoup de collègues ne le savent que trop, ayant participé à cette mascarade à Lyon. Pis, ce déguisement n'a même pas les allures d'un vrai concours puisque les modalités varient d'une section à une autre. Telle section permettra à ses candidats d'avoir droit à la fois à leur dossier ainsi qu'à  leur présentation, quand d'autres, comme en lettres-histoire n'y auront pas droit.

 

Rien que ce fait constitue une rupture dans la chaîne d'égalité pour ce qui devrait être un concours national et partant avec les mêmes modalités pour tous les candidats s'y présentant. Que dire de l'absence de rapport de jury qui laisse ainsi non plus entr'ouverte mais béante la porte à tous les débordements quand le candidat se retrouve à la merci d'un jury sadique décidant par le seul fait du prince qui sortira de la précarité et qui s'y enfoncera des années durant. Rien que ces faits permettraient de faire invalider ce simulacre de concours.

 

De l'esclavage moderne dans l'Éducation nationale 

 

Car enfin, où a-t-on jamais vu se perpétrer pareille forfaiture ? Quel secteur, quel ministère permet ainsi un tel traitement ignominieux digne des pratiques de certaines entreprises privées ? l'Éducation nationale puisqu'il faut la nommer qui dans un tête-à-queue incroyable et une schizophrénie insupportable emploie et use, les mots ont un sens, sans discontinuer des professeurs précaires ou agents temporaires soumis à des inspections, auxquels sont confiés des classes, y compris d'examen, les convoquent à des corrections de copies en fin d'année, sans jamais leur donner ni formation ni statut qui les ferait passer à la dignité la plus élémentaire, de celle qu'il convient d'inculquer aux élèves dont la charge leur est confiée ? Dans n'importe quelle entreprise privée, après plus de 10 ans d'ancienneté et autant de CDD, il serait fait un droit à la titularisation du salarié dont les droits sont ainsi bafoués. Que dire des CDI, contrats de droit privé, que l'Education nationale agite devant le nez et les yeux ébahis des professeurs contractuels qu'elle pressurisent et qui se jettent dessus faute de mieux et d'une reconnaissance en bonne et due forme ?

 

Si les élèves de ces soutiers de l'éducation  nationale et leurs familles connaissaient le sort indigne qui est fait à ces professeurs qui les accompagnent dans l'exercice de leur magister, ils s'étrangleraient et feraient, à coup, sur la révolution pour eux.

 

Le moment est venu, l'heure est arrivée 

 

Il est donc temps, grand temps, de dénoncer ce véritable trafic d'êtres auxquels on dénie tout droit à la plus élémentaire dignité  et qu'on maintient délibérément, cyniquement, dans l'assujettissement le plus total et le plus complet. Quel projet d'avenir possible pour ces précaires de l'Éducation nationale isolés, méprisés, la peur des lendemains qui déchantent chevillée au corps? 

 

Tout le corps social est intéressé à cette situation insensée qu'il faut maintenant combattre avec force et à laquelle il faut mettre un véritable coup d'arrêt dans une société de plus en plus socialement insécure et dans laquelle on étiole les âmes volontaires qui ont elles le souci de la chose publique en acceptant le statut ingrat et insupportablement méprisable de professeurs précaires qui leur est fait. 

 

Alors qu'il y a une véritable crise des vocations dans l'enseignement, que peut-on rêver de mieux que ces supplétifs, invisibles masses grouillantes, qui souhaitent porter au pinacle cet idéal républicain qu'est l'instruction ? C'est le bien public le plus précieux dont il convient de raviver la flamme. Ces milliers de professeurs précaires la portent haut levée.

 

S'il n'y a jamais vraiment de moment favorable, mais des fenêtres de tir, et surtout des circonstances, il ne serait pas faux de dire que le moment est venu et l'heure est arrivée d'alerter l'opinion, les médias, les élus, car cette année même se sont déroulés des concours qui ont laissé humiliés, mais surtout à bout de force physique et psychologique de nombreux collègues désespérant d'accéder un jour, à ce statut de dignité tant convoité mais qui les fui. 

 

Le temps de l'action et du combat

 

Cette situation inique, doit être dénoncée, combattue avec vigueur et énergie et être portée sur la table de Benoit Hamon, il paraît qu’il est à la gauche du PS, si tant est que cela veuille encore dire quelque chose… et celle de Marylise Lebranchu, ministre de la Fonction publique. À cet égard, si nous avons changé de gouvernement et de ministre, les pratiques et le traitement des travailleurs précaires de l'Éducation nationale doivent l'être également. Et si par extraordinaire, ces deux nouveaux ministres n'étaient pas sensibles à notre combat, c'est qu'ils penseraient la même chose que leurs prédécesseurs respectifs et donc ne penseraient rien. Si tous les ministres qui se suivent pensent la même chose, c'est donc qu'ils ne pensent décidément plus rien. Si c'est par la tête que le poisson pourrit, alors il faut traiter avec une médecine de choc ce grand corps malade qu'est devenu le ministère de l'Éducation nationale qui toute honte bue et aux mépris de toutes les règles du droit du travail qu'elle foule aux pieds, ose réserver un sort aussi indigne à ses professeurs qu'elle a elle-même recrutés.

 

Il faut interpeler les pouvoirs publics, instaurer un rapport de force en faisant foule et ne plus craindre les représailles en acceptant l'inacceptable. Il faut refuser le sort qui nous est réservé. En effet, on n'est pas enseignant pour rien malgré le sort qui nous est fait. On le devient pour susciter le désir d'apprendre chez nos élèves et créer du liant et être des passeurs de savoir.

 

Des revendications claires  et justifiées pour une justice sociale

 

Il faut être clair dans nos aspirations. Et affirmer avec force que nous ne refusons pas les concours. Toutefois, après toutes ces années d'enseignement et d'inspections, de rapports "sur la manière de servir" de nos chefs d'établissement, la logique devrait être respectée et voudrait que notre titularisation passe par une inspection et la validation de nos acquis, de notre expérience et de nos pratiques professionnelles. La vraie évolution et la révolution des mentalités qui l’accompagne, devraient être celles-là. Pas d'en passer par les fourches caudines de jurys souverains à l'ego dilaté. Sauf à ce que l'Éducation nationale ne soit prise dans un de ces tête-à-queue dont elle a le secret, et ne se déjuge elle-même, comment imaginer qu'un inspecteur visite et valide les pratiques professionnelles des enseignants précaires que nous sommes et qu'un jury, sur un oral d'une heure, déjuge son collègue pour ensuite renvoyer le même enseignant ainsi nié et brisé vers des élèves? Assez bon pour enseigner, évaluer, corriger, il ne l’est subitement plus au moment du concours !

 

Ce ne serait donc que justice de nous battre pour une vraie reconnaissance par l'institution de ce que nous sommes depuis de nombreuses années : des enseignants à part égale et non entièrement à part. Etant entendu que : « La défaite est une situation strictement temporaire ». Napoléon

 

 

 
 

 

 

 
 

 

 

Admin a écrit:Tellement vrai ! Tellement d'accord ! Sans nuance aucune.

Je reçois des messages de quelques membres inscrits. Des propositions sont formulées. Intéressantes. Trop timides et trop rares !

Nous devons avancer, ne serait-ce que parce qu'il nous sommes allés au bout et qu'au fond du trou, on stagne ou on cherche à remonter. 

Dans un mois, cela fera un an que je me bats pour mobiliser mes collègues apeurés et pessimistes. Ces outils virtuels n'ont pas été conçus pour du vent ; ils sont au service des non-titulaires. 
Pour que l'on s'en sorte, bon sang ! Manifestez-vous !
DEBOUT, mes collègues !
METTONS EN OEUVRE NOTRE PLAN D'ATTAQUE POUR ETRE ENTENDUS ! 

Nous devons nous attendre à quelques divergences sur les moyens d'avancer ensemble. Pourquoi pas un statut associatif au niveau national ? Une organisation par régions (ce qui n'est en aucun cas incompatible) ?

Il nous faut déjà nous REUNIR et organiser ENSEMBLE nos revendications !

Pays de la Loire, Paris, peu importe, mais MANIFESTEZ-VOUS ! 
Si vous appartenez à la grande famille des contractuels et vacataires de l'Education nationale, enseignants, CPE et les autres collègues précaires, venez proposer vos idées, faites partie de ceux qui auront participé au changement du statut des non-titulaires.

Je veillerai personnellement à ce qu'un accueil chaleureux et rassurant vous soit fait.

Mes chers collègues, vous êtes attendus.

Bien à vous.

admin

Je crois percevoir chez adm de la frustration mêlée d'incompréhension face à tant d'atonie de notre part. J'avoue que je partage ses deux sentiments. Enfin, voilà quelqu'un qui a mis à notre disposition un outil formidable et nous serions incapables de nous mobiliser pour faire avancer notre juste cause ? Oui car elle est juste. Si juste que ce serait un crime de continuer plus longtemps à attendre des lendemains... Qui de toute façon déchanteront ! Nous déchantons déjà tous. Nous sommes déjà au fond de la piscine. Ne nous reste plus que la mobilisation pour remonter.

Relevons-nous, comptons-nous, car nous ne pouvons décidément compter que sur nos propres forces, eux qui capitalisent sur nos faiblesses, nos peurs, notre incurie. Ils ont fait le pari que jamais nous ne parviendrons à les faire plier. Relevons le défi et engageons-nous dans un pari pascalien car nous n'avons rien à perdre, nous qui avons déjà tant perdu. Nous avons tout à y gagner. Manifestons-nous, nous les invisibles mais ô combien indivisibles, les sans voix, et disons-leur à la manière de Sartre: « Qu'est-ce donc que vous espériez, quand vous ôtiez le bâillon qui fermait ces bouches noires ? Qu'elles allaient entonner vos louanges ? Ces têtes que nos pères avaient courbées jusqu'à terre par la force, pensiez-vous, quand elles se relèveraient, lire l'ado­ration dans leurs yeux ? Voici des hommes noirs debout qui nous regardent et je vous souhaite de ressentir comme moi le saisissement d'être vus. […]

Oui mobilisons-nous afin qu'ils ressentent le saisissement de nous voir ! Si nous sommes trop timides, frileux, alors tout sera vraiment perdu. Définitivement. Irrémédiablement. 

Ou alors, raisonnons plutôt par l'absurde. Pourquoi rien ne change-t-il et tout demeure-t-il en l'état ? Parce que nous ne savons pas faire foule, masse, communiquer, encore moins sensibiliser, alerter et nous emparer de notre outil de travail comme le ferait n'importe quel salarié aimant son travail et prêt à se battre pour lui. Nous disons aimer enseigner, alors pourquoi raser les murs et tout faire pour qu'on nous enlève ce droit ? Ou tout aussi inacceptable, nous laisser l'exercer dans des conditions indigne ?

J'ai été de ceux qui se sont roulés en boule en croyant au ciel. Maintenant, je veux être le promoteur de ma propre vie car je sais maintenant que le mouvement vient en marchant ! J'y suis prêt ! Assez de ses regards de commisérations que certains collègues titulaires posent sur nous ! N'en avons-nous pas assez ? Personnellement si. Qu'est-ce que ça nous coûte d'essayer au lieu de simplement espérer ? 

Oui à un statut associatif national avec des antennes en régions et à Paris. Oui à une rencontre ici ou ailleurs. Oui à une plate-forme revendicative dès cet été pour préparer la mobilisation de la rentrée. Oui à la création d’une page FB pour être visibles et porter sur la place publique nos revendications. Oui à l’écriture et à la publication d’une tribune dans laquelle nous expliquerions nous-mêmes la liste exhaustives des vexations quotidiennes subies depuis tant d’années. En effet, en parcourant ce forum, je vois des talents comme ceux de adm ou Marie7, et bien d'autres, capables de renverser des montagnes ! Alors qu’est-ce qu’on attend ?

Je vous conjure, chers collègues, de répondre à l’appel pressant d’adm pour « faire en sorte que demain soit meilleur qu’aujourd’hui ». Nous nous le devons.  

 

drumea a écrit:Un immense OUI à cet appel!
Faites nous savoir  comment  faire pour être le plus efficace : médias, pétition, manif !


En guise de propos liminaires, d'abord un grand merci à notre collègue pour avoir déjà réussi l'exploit de nous permettre de nous exprimer sur ce forum avec un mot d'ordre et des revendications claires. C'est déjà beaucoup. Plutôt que de nous morfondre chacun dans notre coin. Au moins la, nous pouvons commencer à analyser la situation. La prochaine étape sera décisive: nous compter et agir au-delà des "maux". Donc merci à l'administrateur-trice de ce formidable forum.

 

J'en viens maintenant à la question posée. Comment faire pour être le plus efficace: médias, pétition, manif !

 

1/ je pense en première intention que nous devons d'ores et déjà acter une date de rencontre dans les Pays de Loire et préciser un lieu, une date et une heure pour ce faire. Pourquoi pas d'ici fin juin histoire de ne pas laisser passer l'été sans agir et attendre la rentrée les yeux rougis et le ventre noué ?

 

2/ délaisser pour l'heure l'idée d'une manif qui suppose des moyens logistiques et du monde. Deux éléments indispensables qui nous font défaut pour le moment, jusqu'à plus ample informé.

 

3/ privilégier les actions fortes qui procèdent de nous-mêmes et que nous pourrons gérer de bout en bout. D'où l'idée de faire intrusion dans les médias et la pétition en ligne. En effet, nous sommes à l'heure du « Storytelling » dont les médias raffolent ! A nous-mêmes donc de raconter notre propre histoire comme personne ne saurait le faire à notre place et à épouser, dans le même temps, les nouvelles pratiques de notre époque pour en faire un puissant mégaphone. C'est à ce prix dans nos démocraties modernes qu'on fait du « buzz » et se fait entendre quand tous refusent de vous écouter.

 

Par ailleurs, une pétition en ligne avec des revendications claires aurait deux avantages. Transformer en positif notre "faible" nombre pour le moment. Des milliers de signatures là ou une manif avec 1000 personnes semblerait insignifiante. Sans oublier que nos collègues isolés signeront plus facilement une pétition qu'en s'exposant a une manif. Enfin, c'est donc forts de ces signatures recueillies que nous pourrons asseoir notre discours dans les médias et peut-être espérer nous y faire entendre. J'y crois fermement. C'est possible.

 

4/ Je ne vais pas vous refaire le coup du Cid « Nous partîmes cinq cents et par un prompt renfort nous nous vîmes trois mille en arrivant au port [...] ». Et pourtant, c'est ainsi qu'il faudrait procéder. Recenser ceux qui sont prêts à se lever dès aujourd'hui pour enclencher le mouvement et qui refusent d'être isolés et abusés plus longtemps. Il nous faut en finir avec notre sentimentalité. Nous devons cesser d'être si violemment modérés ! En effet, « La sentimentalité est le jour férié du cynisme » ! Soyons cyniques nous aussi, moins sentimentaux, disons notre part de vérité, dépeignons la réalité de nos conditions. Quand nous auront initié un premier sursaut, d'autres nous rejoindrons pour venir grossir nos rangs et refuser plus longtemps notre état de soumission sociale. A cet égard, selon un principe de Peter « Plus une série est longue, plus sa fin approche » !

 

5/ La titularisation pour tous les précaires: Ce ne sera jamais, plus de fonctionnaires comme d'aucuns pourraient le penser et nous le reprocher, mais moins de précaires et moins de chômeurs! Et partant, plus de justice sociale dans le service publique d'éducation ! Actuellement l'équation est: de plus en plus de professeurs précaires face à des élèves en précarité ! Un  turnover incroyable pour des élèves qui n'ont jamais le même prof devant eux d'une année sur l'autre voire pire, au cours de la même année ! Une instabilité chronique des équipes éducatives censée donner du liant à une éducation nationale mise en déroute par le manque d'effectifs des professeurs. Car on crève en France aujourd'hui de la précarité et pourtant ça se passe comme ça en France en 2014 ! 

 

C'est en définitive, à mon sens, le genre d'argumentaire qu'il va nous falloir répéter, marteler, asséner tel un mantra.

 

6/ au-delà de tout ce qui vient d'être écrit, je crois sincèrement que le plus important sera la cohésion, l'esprit de concorde. Je propose juste quelques pistes suite à une question qui m'a été posée. Mais rien n'est gravé dans le marbre. De la discussion et de la mise en commun jailliront pour nous la lumière.  L'association / le collectif qui verra le jour devra faire la synthèse de nos idées communes afin que personne ne soit laissé sur le bord de la route et ne jamais perdre de vue que notre mot d'ordre doit rester: la titularisation pour TOUS. Pas pour le plus grand nombre, pour TOUS !

 

C'est sans aucun doute possible et à ce prix que nous éviterons le germe de la confusion qui entraîne la division.

 

Admin a écrit:L'administratrice que je suis n'a pas modifié ses attentes ni ses appels à la mobilisation. 

Merci de ce message de sympathie, et entièrement d'accord pour raviver la flamme ! A deux, nous sommes déjà plusieurs.

Je reste à votre disposition... à tous !